J’avais adoré comme vous l’aviez probablement lu ici et là, la cantine de minuit. Pourquoi je vous dis ça ? Parce que j’ai un peu regardé ce que faisait la même maison d’édition, Lézard Noir. Et là je tombe sur Nagasaki. Un fait divers magnifiquement raconté dans ce livre de très grande facture.
4e de couverture :
Shimura-san vit seul dans une maison silencieuse qui fait face aux chantiers navals de Nagasaki. Cet homme ordinaire rejoint chaque matin la station météorologique de la ville en maudissant le chant des cigales, déjeune seul et rentre tôt dans une retraite qui n’a pas d’odeur, sauf celle de l’ordre et de la mesure.
J’étais tombé sur ce fait divers il y a quelques années en lisant la presse. Je me suis dit c’est absurde (je ne vais pas vous le dévoilé, pour ne pas vous gâcher la surprise pour celles ou ceux qui ne le connaissent pas). Puis en lisant le livre, je me dis que cela peut être possible. Un peu à la même manière que le film « Parasite« , cela reste possible. Les dessins sont excellents et collent à merveille au récit. La fin est exquise. Une grande recommandation de ma part.