Sorti le 22 février 2017, ce livre nous a duré une année … Pas parce que l’on ne l’aimait pas, mais nous lisons 3-4 pages à voix haute avant de nous coucher pour finir la journée sur une bonne note. C’est vraiment un livre qui nous apporte une impression positive sur notre monde. L’on se réjouit de ne pas peindre notre futur en noir à chaque information à sensation qui nous annonce la fin du monde que l’on a lu, entendu ou vu lors de notre journée. Un vrai livre feelgood, parfait pour une lecture de début d’année.
4e de couverture :
Depuis des années, les cris d’alarme se multiplient sur les dangers qui nous menacent. Pourtant, jamais le monde n’a été aussi peu violent. Et la liberté, la tolérance, l’éducation et la santé ont progressé sur la planète dans des proportions insoupçonnées.
À rebours des idées reçues, Jacques Lecomte nous donne à voir une humanité en progrès. Plusieurs centaines de chiffres, de statistiques et de rapports internationaux incontestables dessinent un bilan sans appel : majorité de démocraties dans le monde, mortalités maternelle et infantile divisées par deux depuis 1990, éradication planétaire de la variole, reconstitution de la couche d’ozone, redécouverte de plus de 350 espèces d’animaux considérées comme disparues, nombre de pays ayant aboli la peine de mort multipliée par 13 depuis 1950, chute de 65 % du nombre d’homicides en vingt ans, etc.
Ce livre propose un message d’espoir. Les discours catastrophistes sont contre-productifs. Ils mènent à l’immobilisme, voire à la soumission à une politique autoritaire. Tel est l’optiréalisme auquel ce livre nous invite.
Mon avis :
Le livre apporte des solutions simples pour améliorer les choses et de l’espoir pour le futur. Pas tout est peint en noir comme dans journaux télévisés ou la presse écrite. Il y a du positif dans notre monde et s’est encourageant. C’est clair qu’il y a encore du chemin à faire. Mais une conscience collective est maintenant mise en place afin d’y arriver.
Il termine chaque chapitre en rappelant que la prudence reste de mise. Il ne veut pas pertinallement dire: c’est bon, le monde va mieux. Mais de mettre l’accent sur le faite que l’on a encore du pain sur la planche, mais on peut voir le bout. Il souligne qu’une bonne action en entraîne d’autres. On se dit que c’est possible le monde ira mieux si chacun arrive à faire une part à ça porté.
Réaliser ce qui est dans notre possible :
Comme le dit Jacques Lecomte, un individu seul ne va pas réussir à régler de gros problème mondial. Mais en groupe, nous pouvons y arriver. Un petit geste à la fois est toujours plus facile et demande moins de sacrifice que tout chambouler. On peut parler du mouvement zéro déchet, par exemple. En étant plus responsable, mieux nos déchets, acheter plus durable, réparer les objets réparables, refuser l’inutile … On fait de petits gestes. Et ceux-ci, vont peut être suscité de l’intérêt pour nous amis, familles, voisins … Ils se diront, si eux y arrivent, pourquoi pas moi ? Puis ils vont à leur tour faire pareil et eux aussi influencer d’autres personnes. Cela va créer une dynamique positive et un changement sera fait à une plus grande échelle. L’espoir est permis et même déjà en marche.
Chapitres qui sont traités dans le livre :
- Pauvreté
- Faim
- Enseignement
- Démographie
- Mortalité maternelle et infantile
- Variole
- SIDA
- Paludisme
- Couche d’ozone
- Forêts
- Biodiversité
- Transition énergétique
- Guerre
- Terrorisme
- Criminalité
- Peine de mort
Dans le livre, l’auteur va énoncer les sujets ci-dessus et expliquer ce qu’il s’est améliorer et comment. On constate que les thèmes sont bien variés et relativement conséquents. Je vous recommande cet ouvrage, car il est une des lectures parfaites pour commencer l’année et revoir ses résolutions annuelles. Et comme dit l’écrivain à la fin de chaque chapitre : le monde va beaucoup mieux que vous le croyez, mais la prudence reste mise. Continuons à l’améliorer ensemble.
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