Grand classique du Club Dorothée de ma jeunesse, City Hunter (Nicky Larson en français) est un manga paru en 1985 déjà. Je suis tombé sur cette pépite par hasard après avoir vu le film « Nicky Larson et le Parfum de Cupidon ». Toujours aussi prenant et bien fait, cet ouvrage est plein de nostalgie.

4e de couverture :

Dans le quartier de Shinjuku, c’est City Hunter qui fait la loi ! Derrière ce nom de chasseur se cachent en fait deux hommes, Ryo Saeba, le nettoyeur et Hideyuki Makimura, le flic. A eux deux, ils sèment la terreur chez les criminels… Mais l’Union Teope, une organisation sud-américaine, est bien décidée à prendre le contrôle du marché de la drogue au Japon et le seul obstacle sur son chemin est City Hunter S’ils ne peuvent l’acheter, ils sont bien décidés à le tuer !

Le manga suit les traces de Ryo Saeba, alias Nicky Larson dans le dessin animé français, qui est un chasseur de prime de Tokyo. Il aide principalement les jolies filles, qui sont son pêcher mignon. Le dessin est comme dans mes souvenirs de la série TV, avec des passages allant de drôles, burlesques, absurdes ou encore très sérieux. Un grand vent de nostalgie m’a pris en lisant ce livre, et je n’en suis pas déçu. Surtout que ces derniers temps je suis très orienté lectures japonisantes.

Je vous écrivais plus haut que j’avais vu le film Nicky Larson et le Parfum de Cupidon, et je peux vous dire que malgré le bashing initial sur internet, le film est assez fidèle au dessin animé de ma jeunesse. Philippe Lacheau et sa bande, ont réussi à nous faire retrouver les sensations du manga en y ajoutant en plus plein de clins d’oeil à toute cette génération comme moi qui ait connu le Club Dorothée. Bravo monsieur.

Bande-annonce du film Nicky Larson :