Un compte russe écrit par Joël Dicker à ses 19 ans, celui qui nous a livré la vérité sur l’affaire Harry Quebert.
4e de couverture :
Au tout début du XXe siècle, un fait divers singulier défraye la chronique de Saint-Pétersbourg, la capitale de l’Empire russe : un tigre fait régner la terreur dans la lointaine Sibérie. Il décime les troupeaux et massacre les villageois. Rares sont les voyageurs qui échappent à ses assauts. Le Tsar promet alors une récompense fabuleuse ? à qui parviendra à abattre le fauve : le poids du Tigre en pièces d’or. Les chasseurs de prime affluent vers la Sibérie, mais sans grand succès. L’animal évente leurs pièges et disparaît dans la steppe. Jusqu’à ce qu’un jeune Pétersbourgois, Ivan, décide de se lancer à son tour dans l’aventure. Pour venir à bout du Tigre, il conçoit un stratagème aussi implacable que terrifiant. Mais le piège ne risque-t-il pas de se refermer sur lui ?
Rien que pour voir les illustrations de David de las Heras, ce tout petit livre d’une soixantaine de pages, vaut la peine d’être lu. L’histoire est intéressante, mais très très brève, on aimerait avoir un peu plus à se mettre sous la dent. Mais à la fois, l’on sait que c’est un compte et que cela reste court, mais cet ouvrage s’y prête bien. On y voyage dans la Russie du début XXe siècle, on éprouve le froid et la dureté de la vie dans ses contrées. Les dessins sont juste sublimes et nous font rêver et nous aide à être encore plus plongé dans le récit. Nous reconnaissons déjà la pâte de Joël Dicker, mais sa renommée va plus faire vendre l’ouvrage que l’aventure d’Ivan.
Repéré en librairie, il me tente bien mais je pense attendre son arrivée à la bibliothèque…
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