Je l’avais acheté il y a un moment déjà parce que j’avais beaucoup aimé le 4e de couverture.
4e de couverture :
Il y avait eu des signes avant-coureurs la veille au soir, des barbares, mais durant la nuit la situation s’était encore aggravée. Pendant que Preising dormait, l’Angleterre sombrait. Amateur de pantalons en velours et de mocassins rutilants, Preising n’a guère l’âme d’un aventurier. Dans un luxueux club au coeur du désert tunisien, le voici contraint de côtoyer une horde de traders londoniens venus célébrer un mariage dans une débauche d’alcool et d’argent. Au lendemain d’une nuit de fête, la panique se propage à la vitesse de l’éclair : la Grande-Bretagne aurait fait faillite. Soudain ruinés, les golden boys perdent toute retenue. Du maître-nageur aux dromadaires, nul n’échappe à leur folie destructrice. Conte philosophique, roman de la crise économique, comédie de moeurs, Le Printemps des barbares est avant tout une formidable satire de notre époque.
Et à la fin des 216 pages, on se sent un peu trompé par ce joli synopsis prometteur. L’on s’attendait davantage de cette fête et son lendemain … Il faut attendre 170 pages pour y être. Puis il reste une 40aine de pages pas non plus incroyable. Je suis vraiment un peu déçu de ce livre avec ses phrases à rallonge. C’est peut-être la première fois que je vous écris une critique négative et je ne le voulais pas en écrire. Mais je voulais partager ma frustration quand même.