Voici mon 5e et dernier article sur le film que j’ai vu au FFFH : Dilili à Paris. Le meilleur pour la fin ? Vous trouverez en pied de page ma conclusion de cette série.
Synopsis :
Dans le Paris de la Belle Époque, en compagnie d’un jeune livreur en triporteur, la petite kanake Dilili mène une enquête sur des enlèvements mystérieux de fillettes. Elle rencontre des hommes et des femmes extraordinaires, qui lui donnent des indices. Elle découvre sous terre des méchants très particuliers, les Mâles-Maîtres. Les deux amis lutteront avec entrain pour une vie active dans la lumière et dans une société ouverte…
Je ne vais pas vous le cacher, dès que j’ai visionné la bande-annonce je me suis dit : j’irai voir ce film. J’étais quelque peu surpris de sa programmation au Rex 2 (qui était plein). C’est un choix des organisateurs, mais j’aurais pensé qu’il toucherait plus de monde. Dilili est tout simplement magique. Après l’avoir regardé, toutes les petites filles (et les petits garçons) peuvent se dire qu’elles peuvent être capables de tout. Tous les métiers sont à portée de mains. Toutes les ambitions sont réalisables. Si nous n’y arrivons pas seuls, il est possible de s’entourer de personnes qui peuvent nous aider. Dilili va rencontrer les grands acteurs de la belle époque (début 1900). Et plus précisément les figures féminines qui vont inspirer Dilili. Un film plein de promesses avec des images de Paris si magnifique qu’on s’y croit toute la durée de la projection. Il est dans la lignée des longs métrages précédents de Michel Ocelot (Kirikou et Asur&Asmar). Une histoire à montrer à tous les enfants et parents !
La bande-annonce :
Comme vous avez pu le constater, il y avait de tout dans les films que j’ai vus. J’aurais bien voulu en visionner davantage, mais le calendrier est ce qu’il est et mes autres occupations remplissaient bien mon agenda. D’habitude, je me retrouve entre 6 et 8 longs métrages sur l’ensemble du festival, mais cette année j’ai déjà eu la chance d’en voir 5. C’est un événement que j’attends avec impatience chaque année. Découvrir sa programmation et regarder toutes les bandes-annonces disponibles en un soir, que du bonheur. L’année prochaine, je prendrai éventuellement congé pour visionner les films du vendredi. Cette année beaucoup de séances que je voulais assister étaient vendredi ou en chevauchement d’un autre avec la même programmation. Pour ceux que je n’ai malheureusement pas pu me rendre à leurs projections, il va me rester leur sortie au cinéma. Tout particulièrement « première année » que je voulais absolument voir, mais le temps de me déplacer à la caisse, la salle était complète (en fait, il restait des billets aux rangs 1 et 2, mais là, nous nous trouvons clairement trop près de l’écran pour pouvoir profiter réellement du film).
Encore une fois, merci au FFFH pour son organisation et sa programmation superbe. J’ai hâte de m’y rendre à nouveau l’année prochaine.