Everybody knows était le 3e long métrage que j’ai visionné au festival du film français d’Helvétie. Une bande-annonce dynamique, du suspense, des acteurs de renoms, il a tout pour plaire.
Synopsis :
Laura vit avec son mari Alejandro et leurs deux enfants à Buenos Aires. À l’occasion du mariage de sa sœur Ana, elle retourne, sans son mari, auprès de sa famille dans son village natal. Elle y retrouve notamment Paco, son ancien amant viticulteur. Mais la réunion familiale dérape lorsqu’Irene, la fille de Laura, disparaît au cours de la soirée de mariage …
Malgré tout le bonheur que je vous ai décrit juste au-dessus, ce film tire vraiment sur la longueur et possède son rythme qui est trop calme. Il va nous amener à une fin qui ne me contente pas pour un si long chemin parcouru. Je m’attendais à plus après les promesses de la bande-annonce. Les acteurs se perdent un peu dans l’histoire, qui partait avec plein de mystère, mais se retrouvent dans un labyrinthe de fausses bonnes idées. L’enquête qui doit nous transmettre un passé lourd n’est qu’un feu de paille sans âme. Et je regrette quelque peu d’avoir choisi cette séance au détriment d’une autre qui avait le même horaire. Je ne vais pas vraiment vous le recommander, à moins d’être un fan inconditionnel d’un des acteurs du film, l’intérêt n’est pas très grand de se lancer à un visionnage de 2h12.
La bande-annonce :
Là on n’est pas d’accord! Personnellement, j’ai vraiment aimé ce film car j’aime comme le réalisateur nous baigne dans une ambiance chaude et lumineuse, pour ensuite mettre un coup de pied dans la fourmilière et dévoiler la cupidité, les jalousies, les rancœurs malsaines qui traînent dans cette famille. Par contre, le film a effectivement un problème de narration avec un creux au milieu, on aurait pu sans problème l’amputer de 15 minutes.
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Tout le monde à un avis et c’est bien qu’il soit différent. Peut être que je n’étais pas assez ouvert ou trop dessus par rapport à la bande-annonce. Je suis content qu’il t’ai plu. J’aurais aimé une trame plus soigné.
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